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CORDYCEPS SINENSIS

(Sporophore de Cordyceps chinois)

 

C'est un champignon qui se développe dans les régions montagneuses de la

Chine et du Tibet, caractérisé par sa puissante action tonifiante.

 

Il semble être à même d'augmenter la résistance physique, l'énergie mentale,

la vigueur sexuelle et la durée de vie.

 

La découverte des propriétés de ce champignon revient aux anciens gardes tibétains

de yaks et de chèvres, lesquels, ayant noté un comportement vigoureux de leurs

animaux après le pâturage sur les hautes altitudes des hauts plateaux, en ont recherché

la cause, découvrant que dans l'herbe commune, poussait un autre « végétal » particulier,

lui aussi brouté par leurs animaux.

 

Dés lors, commença l'expérimentation et la découverte des pouvoirs médicinaux du

champignon.

 

On estime qu'il est capable d'améliorer les performances athlétiques car il augmente

la portée systolique.

 

Des études et des expérimentations ont été effectuées pour en démontrer les effets

sur les prestations humaines et l'on a découvert qu'en absorbant du Cordyceps,

l'Adénosine triphosphate (ATP) augmente au niveau cellulaire.

 

Cette molécule présente dans tous les organismes vivants représente la forme

principale d'accumulation d'énergie immédiatement disponible.

Quand l'ATP perd un phosphate, elle devient Adénosine diphosphate (ADP) et

l'énergie libérée par la rupture du lien est immédiatement disponible pour tous les

processus de l'organisme qui ont besoin d'énergie comme la contraction musculaire,

les impulsions nerveuses, la synthèse des protéines et la division cellulaire.

Une augmentation de l'ATP cellulaire signifie une augmentation réelle de l'énergie,

contrairement à ce qui est perçu lors de l'utilisation de stimulants comme la caféine,

l'éphédrine, et l'amphétamine.

 

Avec les amphétamines, le cerveau reçoit des informations altérées sur la disponibilité

en énergie à consommer, mais lorsque cette dernière est épuisée, le corps est obligé

de faire appel à ses réserves. 

 

Le Cordyceps sinensis est un très bon stimulant de la vie sexuelle.

 

C'est un tonique aphrodisiaque, mais pas un « one shot at a time », comme les pastilles

bleues ;

c'est plutôt un médicament qui améliore durablement la vie sexuelle, tout en profitant à

la santé.

 

Des résultats satisfaisants ont été observés même dans les cas de troubles de

l'érection d'origine vasculaire.

 

Ces dernières années, les chercheurs ont mené d'innombrables recherches pour

développer leur connaissance sur les effets de ce champignon : on lui attribut une

capacité protective au niveau rénal,  il prévient des dommages produits par certains

antibiotiques et il protège le système immunitaire ainsi  que des troubles hépatiques.

 

Au cours d'un important congrès à Rome, des professeurs d'universités d'Italie et

de Chine se sont rencontrés, certains experts de l'acupuncture et des cures de la

médecine traditionnelle

chinoise, comme le Professeur  He Jialang, enseignant à la Zhejiang Chinese Medical

University et acupuncteur connu également en Italie. 

Jialang, avec l'aide du Professeur Samuele Papararo, célèbre immunologue italien, de la

seconde faculté de Médecine de La Sapienza à Rome et de deux autres académiciens chinois,

père et fils, Yueai Ke et Chuaiti  Ke, de l'Institute of Medical Research de l'Université de

San Diego, Californie, et du professeur Yong Sheng Fan de la Zhejiang Medical Chinese

University, ont réalisé des recherches sur le champignon pour en démontrer ses propriétés

surprenantes. 

Ce champignon contient du cordycepiacide et de l'ergostérol, composants qui, combinés,

augmentent la fonctionnalité du système immunitaire.

Le secret de ce champignon est qu'il est à même d’équilibrer parfaitement les lymphocytes

Th1 et Th2, très importants pour les réponses immunitaires de l'organisme.

Le Cordyceps est en mesure de réduire les effets négatifs de nombreuses maladies à travers

l'augmentation de l'activité immunitaire en renforçant ainsi la résistance aux bactéries et

aux virus.

 

Il est efficace en cas de leucopénie et en cas de dommages cellulaires causés par la

radiothérapie et la chimiothérapie.

 

Il augmente la SOD (Superoxyde dismustase)(*), enzyme qui élimine la forme de radical

libre de l'O2 (superoxyde), nocive et hautement réactive.

Les bactéries aérobies sont seulement protégées par cette enzyme contre l'effet létal du

superoxyde.

Le rôle de la Superoxyde dismutase (SOD) est d'accélérer la dismutation du radical

superoxyde toxique (O2), produit lors des processus d'oxydation, en peroxyde d'hydrogène

et oxygène moléculaire.

 

 

Ce champignon médicinal est extrêmement riche que ce soit en béta-glucanes, reconnus

comme un auxiliaire dans les thérapies contre le cancer, qu'en polysaccarides.

 

Ces derniers sont de longues chaines de sucres avec en leur sein de nombreuses sections

d'oxygène.

Quand ils sont décomposés par l'organisme, les molécules d'oxygène sont libérées et

absorbées au niveau cellulaire. 

Nous savons que le cancer sous toutes ses formes n'est pas en mesure de subsister dans

un environnement riche en oxygène et que lorsque l'organisme est privé des niveaux d'oxygène

adéquats, il peut développer des états dégénératifs qui favorisent le cancer, les cardiopathies,

les désordres immunitaires et le diabète, permettant à de nombreuses maladies virales comme

l'hépatite C, la maladie de Lyme et d'autres, de se développer.

 

L'action au niveau du système respiratoire se manifeste à travers le relâchement des muscles

des bronches et des bronchiolites, facilitant le passage de l'air ainsi que la respiration,

augmentant le flux hématique au niveau musculaire, ce qui explique l'action sur les

manifestations asthmatiques, les bronchites chroniques et la tuberculose.

Les poumons des animaux, blessés par des causes diverses, ont récupéré leur élasticité après

avoir été traités avec du Crodyceps sinensis.

La chimie n'a rien fait d'autre que de confirmer ce que les médecins qui traitent les patients avec

les plantes classiques de la médecine traditionnel chinoise savent depuis des millénaires.

Au niveau hépatique, le Cordyceps agit en  tant que protecteur de la cellule dans les cas

d'hépatite et de cirrhose, tandis qu'au niveau cardiaque son action s'étend aux troubles

cardiovasculaires et en cas d'hypertension.

Des expérimentations effectuées en Chine ont démontré que:

·  Il renforce la résistance et améliore la qualité de vie ;
 
·  Il améliore l'état des patients fatigués ;
 
·  Il stimule la force physique et la résistance des patients affectés de maladies respiratoires
 
     ou cardiovasculaires ;
 
·  Il a un effet anti-arythmique ;
 
·  Il favorise la fonction pulmonaire ;
 
·  Il soulage les symptômes des patients affectés de maladies respiratoires et en particulier
 
      les asthmatiques ;
 
·  Il augmente la capacité aérobie des patients âgés, il protège le cœur de l'effet offensif de
 
     l'ouabaïne (substance toxique utilisée comme stimulant du cœur) ;
 
·  Il réduit les dommages de l'oxydation en emprisonnant les radicaux libres oxygénés ;
 
·  Il améliore la tolérance au froid ;
 
·  Il augmente le taux de SOD (Superoxyde Dismutase) ;
 
·  Il renforce le système auto-immune ;
 
·  Il protège les reins des toxines ;
 
·  Il protège le foie des toxines ;
 
·  Il a un effet anti-rejet dans la transplantation de la cornée ;
 
·  Il a un effet antibiotique ;
 
·  Il inhibe la contraction de la musculature lisse 
 
 
 
Mots Clés : 
 

ASTHME

CANCERS

CŒUR

FOIE

HEPATITE

INFECTIONS

REINS

SLA 

TUBERCULOSE

 

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

(*) La SOD  :  Superoxyde dismutase

 

 

Sans oxygène nous ne pourrions pas vivre, nos cellules utilisent l'oxygène en tant qu'accepteur

final des électrons de la respiration, de cette manière elles réussissent à extraire beaucoup

plus d'énergie à partir de la nourriture que ce qu'elles parviendraient à faire en conditions

d'anaérobies.

L'oxygène pourtant est aussi un élément dangereux, les formes réactives de l'oxygène comme

le radical superoxyde (oxygène avec un électron en plus) peuvent échapper aux enzymes de la

respiration cellulaire et provoquer des désastres dans les cellules.


Le superoxyde peut également causer des mutations de l'ADN ou attaquer les enzymes qui
 
synthétisent les acides aminés ou les autres molécules essentielles.

 

Ce n'est pas un danger négligeable, une recherche a démontré que sur presque 10 mille

électrons transférés le long de la chaine respiratoire dans les cellules d'Escherichia coli,

trois électrons finissent par produire du superoxyde au lieu de suivre leur parcours normal

jusqu'à l'enzyme qui le transfert à l'oxygène pour produire de l'eau.

 

Pour éviter cette éventualité, la majeure partie des cellules produit l'enzyme Superoxyde 

Dismutase (SOD) qui transforme le superoxyde en molécules moins dangereuses (oxygène

et eau oxygénée).

Comme son nom l'indique, l'enzyme SOD dismute le superoxyde.

La dismutation est une réaction de type particulier durant laquelle ont lieu deux réactions

opposées en même temps, une oxydation et une réduction, sur deux molécules égales.

L'enzyme SOD intervient sur deux radicaux superoxyde, elle arrache l'électron en trop du

premier et le transfert sur le second, de cette manière une des deux molécules se retrouve

avec un électron en moins et devient donc de l'oxygène moléculaire O2, l'autre se retrouve

avec un électron en plus et, après avoir lié deux ions H+, devient de l'eau oxygénée H2O2.

Puisque l'eau oxygénée est aussi un composant dangereux, la cellule cherche à la détruire

le plus rapidement possible utilisant l'enzyme Catalyse qui convertit l'eau oxygénée en eau

et en oxygène moléculaire.

 

L'enzyme Superoxyde Dismutase (SOD) a récemment gagné en notoriété car elle est

impliquée dans la Sclérose Latérale Amyotrophique, grave maladie dégénérative qui porte

à la mort sélective des  motoneurones dans le système nerveux central et dans la moelle

épinière, conduisant à une paralysie  progressive et irréversible en quelques années.

 

La majeur partie des cas de SLA se déclarent à l'âge adulte et sa cause était inconnue il y a

encore peu de  temps. Presque 10% des cas de SLA sont héréditaires, provoqués par des

mutations génétiques transmises  aux enfants. Une recherche récente a démontré qu'une de

ces mutations se trouvait sur le gène qui  codifie l'enzyme SOD.

Les scientifiques sont encore en train d'étudier le rôle de l'enzyme SOD dans cette maladie,

espérant  découvrir quelque chose qui porte a de nouveaux traitements et à des soins plus

efficaces.

 

 

Voir aussi :

Complexe Alba Celesta

Complexe Aurum Alba

Complexe Immunosol 

  

 

 

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Borghiero Roger  | r.borghiero@gmail.com